Adverse Drug Reactions and Predictors of Medication Adherence in Patients with Prostate Cancer

Background: Adherence to therapy with prostate cancer medicines is critical for delaying the progression of disease and enhancing health outcomes.

Objectives: To determine patients’ medication adherence, the predictors of adherence, and the frequency and types of adverse drug reactions (ADRs) in persons with prostate cancer.

Methods: A serial entry-point cross-sectional study of patients with prostate cancer was conducted in 3 cancer hospitals in Nigeria over a 12-month period (January 7, 2022, to January 3, 2023). Data on medication adherence were self-reported by patients, and data on
ADRs were obtained from hospital records. Descriptive and inferential statistical analyses were performed, and p less than 0.05 was considered statistically significant.

Results: Of the 133 study participants, most 112 (84.2%) reported high medication adherence. The cost of drugs was the most frequently reported potential barrier to adherence (n = 63, 47.4%). Adherence was significantly dependent on family history of cancer (df = 3, F = 4.557, p = 0.005) and health-related quality of life (HRQOL) (ß = 0.275, T = 2.170, p = 0.032) but not illness perception (ß = 0.046, T = 0.360, p = 0.72). Adverse events were observed in 36 participants (27.1%) and were deemed to be “possible ADRs” (n = 19, 53%) or “probable ADRs” (n = 17, 47%); all were nonpreventable and expected (100%), and most (n = 31, 86%) were within the level 1 category of severity. Loss of erection and low libido was the most frequently reported ADR (n = 14, 39%).

Conclusions: In this study, medication adherence was high, with cost being a potential barrier to adherence. Family history of cancer and HRQOL significantly predicted medication adherence. The medications were well tolerated, and observed ADRs had minor severity. Policies targeting the reduction of cost-related factors for prostate cancer medications are essential.

Keywords: Nigeria, medication adherence, adverse drug reaction, illness perception, quality of life, prostate cancer

RÉSUMÉ

Contexte : L’observance thérapeutique quant à la prise de médicaments contre le cancer de la prostate est essentielle pour retarder la progression de la maladie et améliorer les résultats en matière de santé.

Objectifs : Déterminer l’observance thérapeutique des patients, les facteurs prédictifs de l’observance ainsi que la fréquence et les types d’effets indésirables du médicament chez les personnes atteintes d’un cancer de la prostate.

Méthodologie : Une étude transversale en série a été menée auprès de patients atteints d’un cancer de la prostate dans trois hôpitaux spécialisés dans le traitement du cancer au Nigéria sur une période de 12 mois (du 7 janvier 2022 au 3 janvier 2023). Les patients ont eux-mêmes consigné les données relatives à l’observance thérapeutique et les données concernant les effets indésirables ont été obtenues à partir des dossiers de l’hôpital. Des analyses statistiques descriptives et inférentielles ont été réalisées, où une valeur de p inférieure à 0,05 était considérée comme significative d’un point de vue statistique.

Résultats : Des 133 participants à l’étude, la plupart (112, 84,2 %) ont déclaré une forte observance thérapeutique. Le coût des médicaments était l’obstacle potentiel à l’observance le plus fréquemment invoqué (n = 63, 47,4 %). L’observance dépendait significativement des antécédents familiaux de cancer (df = 3, F = 4,557, p = 0,005) et de la qualité de vie liée à la santé (QVLS) (ß = 0,275, T = 2,170, p = 0,032), mais pas de la perception de la maladie (ß = 0,046, T = 0,360, p = 0,72). Des événements indésirables ont été observés chez 36 participants (27,1 %) et ont été considérés comme des « effets indésirables du médicament possibles » (n = 19, 53 %) ou des « effets indésirables du médicament probables » (n = 17, 47 %); tous étaient inévitables et attendus (100 %), et la plupart (n = 31, 86 %) relevaient de la catégorie de gravité de niveau 1. La perte d’érection et la faible libido étaient les effets indésirables les plus fréquemment signalés (n = 14, 39 %).

Conclusions : Dans cette étude, l’adhésion au régime médicamenteux était élevée, le coût étant un obstacle potentiel à l’observance. Les antécédents familiaux de cancer et la QVLS prédisaient de manière significative l’observance thérapeutique. Les médicaments étaient bien tolérés et les effets indésirables du médicament observés n’étaient pas fort graves. Il est essentiel de mettre en place des politiques visant à réduire les facteurs liés au coût des médicaments contre le cancer de la prostate.

Mots-clés : Nigéria, observance thérapeutique, réaction indésirable aux médicaments, perception de la maladie, qualité de vie, cancer de la prostate

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