Anaerobic speed reserve in young female rugby players: Methods and applications

Synthèse des faits et résultats

Dix joueuses de rugby (15,00 ± 0,21 ans) ont effectué des tests de sprint (20 m, 30 m et 40 m) pour mesurer la vitesse maximale de sprint et des tests aérobies pour mesurer la vitesse associée à la consommation maximale d’oxygène, la vitesse aérobie maximale et la vitesse associée à test de condition physique intermittent. Neuf combinaisons de réserve de vitesse anaérobie ont été calculées. Réserve de vitesse anaérobie utilisant 20 m (vitesse associée à la consommation maximale d’oxygène = 2,01 ± 0,59 m·s−1, vitesse maximale aérobie = 1,84 ± 0,59 m·s−1, vitesse associée au test de condition physique intermittent = 2,09 ± 0,46 m·s−1) ont montré des valeurs inférieures lorsque la réserve de vitesse anaérobie a été déterminée avec 30 m (vitesse associée à la consommation maximale d’oxygène = 2,20 ± 0,63 m·s−1, vitesse aérobie maximale = 2,03 ± 0,52 m·s−1, vitesse associée au test de condition physique intermittent = 2,28 ± 0,51 m·s−1 ; p = 0,009) et 40 m (vitesse associée à la consommation maximale d’oxygène = 2,21 ± 0,60 m·s−1, vitesse maximale aérobie = 2,04 ± 0,48 m·s−1, vitesse associée au test de condition physique intermittent = 2,29 ± 0,41 m·s−1 ; p = 0,037).

Conclusion

De plus, les méthodes présentaient une concordance entre les tests de vitesse maximale de sprint et les tests aérobies. Cela suggère la viabilité de différents tests pour évaluer la réserve de vitesse anaérobie, et les tests de sprint d’au moins 30 m sont plus appropriés pour calculer la réserve de vitesse anaérobie.

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