High-intensity functional exercise does not cause persistent elevations in augmentation index in young men and women

Abstract

Elevations in central augmentation index (AIx) are predictive of cardiovascular disease. The objective of this study was to examine AIx immediately and 24 h following an acute bout of high-intensity functional training (HIFT) in apparently healthy young adults. A second aim compared the exercise-induced AIx recovery response between men and women. Thirty-two recreationally active younger adults (n = 16 men) were tested. Baseline central hemodynamic measures were assessed, followed by a single bout of bodyweight HIFT. The HIFT included 4 rounds of burpees, jump squats, split squats, and walking lunges. Assessments were repeated 5, 10, 15, and 24 h post-exercise. AIx was normalized to a heart rate of 75 bpm (AIx75). There was a significant main effect of time on AIx75 across all groups (P < 0.001) with AIx75 increasing at all acute time points compared with baseline and returning to resting values 24 h post-exercise. When examining sex differences after covarying for height and body fat percentage, the authors found no time × sex interaction (P = 0.62), or main effect for sex (P = 0.41), but the significant main effect of time remained (P < 0.001). The AIx75 response to HIFT follows a similar recovery pattern as previously studied modes of exercise with no residual effects 24 h later and no differences between men and women indicating no persistent cardiovascular strain in younger adults participating in this mode of exercise.

Résumé

Les hausses de l'indice d'augmentation centrale (« AIx ») sont prédictives des maladies cardiovasculaires. Notre objectif était d'examiner l’AIx immédiatement et 24 heures après une séance d'entraînement fonctionnel à haute intensité (« HIFT ») chez de jeunes adultes apparemment en bonne santé. Un deuxième objectif était de comparer entre les hommes et les femmes la réponse de récupération de l’AIx induite par l'exercice. Trente-deux jeunes adultes actifs par loisir (n = 16 hommes) ont été testés. Les mesures hémodynamiques centrales de base ont été évaluées et les sujets ont participé à une seule séance HIFT sollicitant le poids corporel. La séance HIFT comprenait quatre séries de sauts de grenouille, de sauts verticaux issus d’une position accroupie, de flexions accroupies en fente et de fentes avant en marchant. Les évaluations ont été répétées 5, 10, 15 et 24 heures après l'exercice. L’AIx a été normalisé à une fréquence cardiaque de 75 bpm (« AIx75 »). Il y avait un effet principal significatif du temps sur AIx75 dans tous les groupes (p < 0,001) avec l’AIx75 augmentant à tous les repères temporels par rapport à la ligne de base et revenant aux valeurs de repos 24 heures après l'exercice. Lors de l'analyse des différences entre les sexes après covariation pour la taille et le pourcentage de graisse corporelle, nous n'avons trouvé aucune interaction temps × sexe (p = 0,62) ni d’effet principal pour le sexe (p = 0,41), mais l'effet principal significatif du temps est resté (p < 0,001). La réponse de l’AIx75 à HIFT suit un schéma de récupération similaire à celui des modes d'exercice précédemment étudiés sans effets résiduels 24 heures plus tard et sans différence entre les hommes et les femmes ce qui indique l'absence de tension cardiovasculaire persistante chez les jeunes adultes participant à ce mode d'exercice. [Traduit par la Rédaction]

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