Opioid receptor μ, not δ and κ, modulate food intake induced by ghrelin in laying chickens

Abstract

Evidence from animal studies suggests that the opioidergic system and ghrelin have a regulatory role in food intake, but their interaction(s) have not been studied in laying chickens. So in this study, four experiments (each included four groups) were designed. The first experiment was performed to evaluate the effect of ghrelin on the cumulative food intake. Experiments 2–4 were designed to investigate the possibility of μ, δ, or κ opioid receptors mediating ghrelin-induced hypophagia. All drugs were injected intracerebroventricularly (ICV) at 5 days of age. The results of this study showed that the ICV injection of 1.5 nmol ghrelin did not affect cumulative food intake. However, ICV injection of ghrelin with doses of 3 and 6 nmol significantly reduced the cumulative food intake (p < 0.05). However, co-injection of ghrelin with naltrindole and norbinaltorphimine did not show a significant change in decreased food intake compared with ghrelin. Also, opioid μ receptor gene expression significantly increased (p < 0.05), but δ and κ opioid receptors’ gene expression did not significantly change. These results indicated that the opioidergic system is involved in developing ghrelin-induced hypophagic effects in laying chickens. Accordingly, this effect of ghrelin to modify the nutritional behavior is possibly mediated by opioid μ receptor.

Résumé

Les données provenant d’études chez les animaux laissent entendre que le système opioïdergique et la ghréline auraient un rôle régulateur dans l’apport alimentaire, mais leurs interactions n’ont pas été étudiées chez les poules pondeuses. Donc, dans cette étude, nous avons conçu 4 expériences (avec 4 groupes chacune). Nous avons réalisé la première expérience en vue d’évaluer l’effet de la ghréline sur l’apport alimentaire cumulatif. Nous avons conçu les expériences 2 à 4 en vue d’étudier la possibilité que les récepteurs opioïdes μ, δ ou κ participent à la médiation de l’hypophagie engendrée par la ghréline. Nous avons injecté tous les médicaments par voie intracérébroventriculaire (ICV) à l’âge de 5 jours. Les résultats de cette étude ont montré que l’injection ICV de ghréline à 1,5 nmol n’avait aucun effet cumulatif sur l’apport alimentaire. Mais l’injection ICV de ghréline à 3 et 6 nmol entraînait une diminution marquée de l’apport alimentaire cumulatif (p < 0,05). Cependant, l’injection concomitante de ghréline avec du naltrindole et de la norbinaltorphimine n’a pas montré de variation notable de l’apport alimentaire comparativement à la diminution obtenue avec la ghréline. De plus, nous avons observé une augmentation marquée de l’expression génique du récepteur opioïde μ (p < 0,05), mais l’expression génique des récepteurs opioïdes δ et κ n’a pas varié de façon notable. Ces résultats ont montré que le système opioïdergique joue un rôle dans l’apparition des effets hypophagiques engendrés par la ghréline chez les poules pondeuses. Effectivement, cet effet de la ghréline d’entraîner des modifications du comportement alimentaire pourrait éventuellement être médié par les récepteurs opioïdes μ. [Traduit par la Rédaction]

留言 (0)

沒有登入
gif