Low-dose spironolactone abates cardio-renal disorder by reduction of BAX/inflammasome expression in experimentally induced polycystic ovarian syndrome rat model

Abstract

The impact of low-dose spironolactone (LSPL) on polycystic ovarian syndrome (PCOS)-associated cardio-renal disorder is unknown. Therefore, the present study hypothesized that LSPL would ameliorate cardio-renal disorders in experimental PCOS animals. Eight-week-old female Wistar rats were allotted into three groups. The control group received vehicle (distilled water; per os (p.o.)), the letrozole (LET)-treated group designated as PCOS group received LET (1 mg/kg; p.o.), and PCOS+LSPL received LET and LSPL (0.25 mg/kg, p.o.). The treatment was done once daily for 21 days uninterrupted. The experimental PCOS rats were characterized with insulin resistance, as well as elevated testosterone and luteinizing hormone/follicle-stimulating hormone, with a significant increase in cardiac and renal lipid profile, oxidative stress, inflammatory biomarkers (nuclear factor-κB and tumor necrosis factor-α), lactate dehydrogenase and lactate content and decrease in cardiac and renal antioxidant system (glutathione peroxidase and reduced glutathione) compared with the control rats. In addition, immunohistochemical assessment of cardiac and renal tissue showed significant expression of inflammasome and B-cell lymphoma-2 associated X-protein (BAX) in animals with PCOS. Nevertheless, these perturbations were attenuated following the administration of LSPL. Collectively, the present results suggest that LSPL attenuates PCOS-associated cardio-renal disorders by reduction of oxidative stress and BAX/inflammasome expression.

Résumé

On ne connaît pas l’incidence du spironolactone à faible dose (SPLF) sur le syndrome cardiorénal lié au syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Par conséquent, la présente étude était fondée sur l’hypothèse selon laquelle le SPLF aurait une incidence positive sur le syndrome cardiorénal dans un modèle expérimental de SOPK chez l’animal. Nous avons réparti des rates Wistar de 8 semaines dans trois groupes. Le groupe témoin a reçu le véhicule (eau distillée par voie orale), le groupe SOPK a reçu du létrozole à 1 mg/kg par voie orale, tandis que le groupe SOPK + SPLF a reçu du létrozole avec du SPLF à 0,25 mg/kg par voie orale. L’administration des médicaments a eu lieu quotidiennement pendant 21 jours consécutifs. Les rates atteintes d’un SOPK expérimental étaient caractérisées par une résistance à l’insuline avec une hausse de la testostérone et du couple FSH/LH, de même qu’une augmentation marquée des profils lipidiques cardiaque et rénal, du stress oxydatif, des taux de biomarqueurs de l’inflammation (NF-κB et TNF-α), de LDH et de lactates, avec une diminution des taux de GPX et de GSH (système antioxydant cardiaque et rénal) plus importantes que chez les témoins. De plus, l’évaluation immunohistochimique des tissus cardiaques et rénaux a montré une expression notable de l’inflammasome et de BAX avec le SOPK. Néanmoins, ces perturbations s’atténuaient à la suite de l’administration de SPLF. Collectivement, les présents résultats laissent entendre que le SPLF entraînerait une atténuation du syndrome cardiorénal associé au SOPK par l’intermédiaire d’une diminution du stress oxydatif et de l’expression du couple BAX/inflammasome. [Traduit par la Rédaction]

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