Endothelin antagonism reduces hemoglobin A1c in patients with pulmonary hypertension

Abstract

Our lab recently reported that the blockade of endothelin-1 (ET-1) receptors attenuates insulin resistance in obese mice; therefore, we hypothesized that patients taking ET-1 receptor antagonists (ERAs) will have improved glycemic control. University of Mississippi Medical Center (2013–2020) electronic health record (EPIC) data were extracted from patients ≥18 years old with a clinical diagnosis of pulmonary hypertension (Food and Drug Administration indication for ERA use) and at least two clinical visits within 2 years. Patients prescribed ERAs (n = 11) were similar in age (61 ± 14 years vs. 60 ± 14 years), body mass index (BMI) (34 ± 8 kg/m 2 vs. 35 ± 11 kg/m2), diabetes prevalence (73% vs. 80%, p = 0.59), and follow-up time (209 ± 74 days vs. 283 ± 180 days) compared with patients not taking ERAs (n = 137). There was a small but similar decrease in BMI at follow-up in the ERA (−1.9 ± 3 kg/m2) and control patients (−1.6 ± 5 kg/m2). At follow-up, hemoglobin A1c (HbA1c) significantly decreased −12% ± 11% of baseline in patients taking ERAs, while this did not occur in the control patients (2% ± 20% increase in HbA1c). In the whole population, baseline HbA1c and ERA prescription predicted the fall in HbA1c, while there was no significant association with demographics, diabetes prevalence, and diabetic treatment. These data suggest a potential role of ET-1 in promoting insulin resistance and warrant further investigation into using these drugs for glycemic control.

Résumé

Récemment, nos laboratoires ont rapporté que l’inhibition des récepteurs de l’endothéline 1 (ET-1) permet d’atténuer la résistance à l’insuline chez la souris obèse; par conséquent, nous avons formulé l’hypothèse selon laquelle les patients qui prennent un antagoniste des récepteurs de l’ET-1 (ARE) pourraient voir leur maîtrise glycémique s’améliorer. Nous avons extrait des données EPIC du centre hospitalier de l’université du Mississippi (2013-2020) celles de patients âgés de plus de 18 ans avec un diagnostic d’hypertension pulmonaire (l’indication des ARE selon la FDA) avec au moins deux visites cliniques au cours des 2 dernières années. Les patients auxquels étaient prescrits les ARE (n = 11) étaient semblables aux patients n’en prenant pas (n = 137) quant à leur âge (61 ± 14 vs. 60 ± 14 ans), à leur IMC (34 ± 8 vs. 35 ± 11 kg/m2), à la fréquence du diabète (73 % vs. 80 %, p = 0,59) et à la durée du suivi (209 ± 74 vs. 283 ± 180 jours). Nous avons observé une petite diminution de l’IMC similairement dans les deux groupes (-1,9 ± 3 kg/m2 avec les ARE et -1,6 ± 5 kg/m2 chez les témoins). Au suivi, l’HbA1c s’abaissait de façon marquée par rapport à la ligne de base dans le groupe ARE (-12% ± 11 %), mais pas chez les témoins (augmentation de 2% ± 20 %). Dans l’ensemble de la population étudiée, l’HbA1c de départ et la prescription d’ARE avaient un effet prédictif sur l’abaissement de l’HbA1c, tandis que nous n’avons pas observé d’association digne de mention avec les données démographiques, la fréquence du diabète et le traitement du diabète. Ces données laissent entendre que l’ET-1 pourrait éventuellement participer à l’augmentation de la résistance à l’insuline. Il vaudrait la peine d’étudier davantage l’incidence de ces médicaments sur la maîtrise glycémique.

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